Presse

Dido & Æneas (Purcell) — 2024

« Enfin, ce sont les deux autres hommes de la distribution qui se font remarquer. Le contre-ténor Arnaud Gluck fait montre d’une projection remarquable au service d’une voix sertie de couleurs irisées dans une intervention dont on regrette la brièveté. »

Yannick Boussaert, forumopera.com — lien vers la critique complète

« À la fin de ce même acte apparaît l’Esprit envoyé par la magicienne, interprété par le contre-ténor Arnaud Gluck. Sa prestation magnifique et douce bien qu’injonctive fait regretter la brièveté de l’apparition. »

Charlotte Segonzac, Avant-Scène Opéra — lien vers la critique complète

 » Lili Aymonino et son art du souffle, Arnaud Gluck et son timbre cotonneux et douillet, voire les parfaitement appariées Pauline Gaillard et Yara Kasti, dans leur sens du théâtre par la voix. »

Thibault Vicq, Opéra Online — lien vers la critique complète

« Même alors que le chef Stefan Plewniak joue la partie de violon solo, [les musiciens de l’Orchestre de l’Opéra Royal] interprètent très justement la partition de Purcell, accompagnés du Chœur de l’Opéra Royal, où se cache d’ailleurs un jeune Esprit (Arnaud Gluck), contre-ténor de talent. »

Lilah Immerechts, Classikéo — lien vers la critique complète

« Côté chanteurs, on aura pu apprécier l’attribution des rôles brefs à des voix typées, que ce soit celle, chaude, de Lili Aymonino en Deuxième femme, ou celle d’Arnaud Gluck, Esprit qui ne craint pas les hauteurs, au propre comme au figuré, placé en surplomb de la scène pour s’adresser à Enée. »

Eric Gibert, ODB-Opéra — lien vers la critique complète

« Saluons également le superbe contre-ténor de Arnaud Gluck (un Esprit) dont la personnalité réussit à s’imposer malgré la brièveté du rôle. »

Thierry Verger, forumopera.com — lien vers la critique complète


Concours international de chant baroque de Froville — 2024

« Le deuxième prix (de 2 500 euros) et le prix I Gemelli (représentant l’enregistrement d’un EP numérique de trois à cinq titres avec l’ensemble) ont été décernés au contre-ténor français Arnaud Gluck dont nous avions noté le nom lors de la demi-finale, avec une belle présence scénique et un aspect angélique (physiquement mais surtout vocalement). Capable de très beaux mediums et d’un bon souffle, il proposait également de magnifiques graves sans « cassure » avec le reste de sa tonalité comme on l’entend parfois chez les contres-ténors. Ici, tout est fluide et plaisant à entendre.« 

Elodie Martinez, Opera-online — lien vers la critique complète


Abendt Musik (Philbarok), Paris — 2024

« L’admirable programme de ce soir […] s’inscrit sous le soleil noir de la Guerre de Trente (1618-1648) qui a fait 10 millions de mort et décimée la zone germanique. […] [Arnaud Gluck] s’avère déjà un très grand espoir du chant et, au sens étymologique comme au sens commun, il enthousiasme. »

Jérôme Pesqué, ODB-Opéra — lien vers la critique complète

L’Orfeo (Monteverdi) — 2024

« D’autres rôles, issus de l’excellent Chœur de l’Opéra royal de Versailles (préparé par Lluis Vilamajó), polarisent notre écoute sur les ensembles madrigalesques. Notamment les excellents bergers Matteo Laconi (ténor), Arnaud Gluck (contre-ténor) et Nicolas Certenais (basse).« 

Sabine Teulon Lardic, Première Loge – Opéra — lien vers la critique complète

« Les solistes du Chœur s’appliquent à rendre le texte vivant et significatif. […] Le contre-ténor Arnaud Gluck en autre Pastore et Spirito a une voix légère et souple.« 

Marjorie Cabrol, Olyrix — lien vers la critique complète


L’Ercole Amante (Antonia Bembo) — 2023

« Le plateau scénique est d’excellente tenue avec neuf artistes venus de toute l’Europe, maîtrisant parfaitement l’esthétique baroque. […] Andrès Montilla-Acurero, a beaucoup d’espace dans la voix, accrochée bien haut. Impeccable, il forme un couple cocasse avec Arnaud Gluck, page plein d’allant et de charme.« 

Tania Bracq, forumopera.com

« Autre chanteur français de cette distribution, le jeune contre-ténor Arnaud Gluck brille dans le court rôle du Page. La distinction de son nœud papillon s’oppose à la décontraction de son short, contraste qui lui apporte la touche comique qui sied à son rôle. Ses entrées sont percutantes, tout particulièrement celle du quatrième acte, où il arrive sur scène affublé d’un ciré jaune éclatant, avant d’entamer avec bravoure l’air Noto è a voi Cupido, qu’il accompagne d’ondulations endiablées.« 

Bruno Maury, Baroquiades

« En tant que Paggio, Arnaud Gluck, avec sa jeune voix de contre-ténor, met l’accent sur la scène et la comédie. D’une part, ses culottes courtes avec ses hautes chaussettes au genou semblent être un costume approprié pour le rôle du page. Lorsqu’il part pour rejoindre Hyllo par la mer, il apparaît vêtu d’un manteau de pluie jaune pour faire face à la tempête en mer et se laisse ensuite littéralement emporter hors de la scène par la mer déchaînée.« 

Thomas Molke, Online Musik Magazin omm.de (traduit de l’allemand)

« Le clair contre-ténor Arnaud Gluck, en culottes courtes et nœud papillon, a joué son court mais astucieux rôle de Paggio avec une très grande efficacité scénique.« 

Manuel Brug, oper-magazin.de (traduit de l’allemand)


Passion selon Saint-Jean (J.S. Bach) — 2022

« L’affiche des solistes tient elle aussi ses promesses […]. Saluons aussi le tout jeune contre-ténor Arnaud Gluck remarquable par sa suavité et son articulation.« 

Christian Wolff, Dernières Nouvelles d’Alsace